Sur le thème « L’autonomisation des femmes et son lien avec le développement durable » , la 60e session de la Commission de la condition de la femme (CSW60) réunit, au siège de l’ONU à New York, des délégations internationales, des institutions des Nations Unies et des organisations de la société civile pour débattre ce sujet tellement important, entre le 14 et le 24 mars 2016.
LBV participe de la Commission sur les droits de la femme NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Le président de la 60e session de la Commission de la condition de la Femme, l'ambassadeur Antonio Patriota (à gauche), reçoit la revue BONNE VOLONTÉ Femme . L'édition présente une interview exclusive de l'ambassadeur brésilien parlant de l'importance des femmes dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — La présidente du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), Yoko Hayashi (à gauche), reçoit la publication spéciale de l’Institution. NEW YORK/ÉTATS-UNIS — De gauche à droite : Federica Pietracci, économiste principale du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (DAES) ; Barbara Tavora-Jainchill, du Secrétariat du Forum des Nations Unies sur les forêts ; et Sâmara Caruso, représentant de la LBV dans l’évènement.(Foto: Danilo Parmegiani)
NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Amanda Vieira (à droite), de la LBV, remet la revue BONNE VOLONTÉ Femme à la directrice de l’ONG The Hunger Project du Mexique, Lorena Vázquez Ordaz. NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Danilo Parmegiani, de la LBV, remet la revue BONNE VOLONTÉ Femme à Silvia Rita Souza, représentant brésilienne de l’ONG américaine Women's Democracy Network et député brésilien, Celina Leão.(Foto: Silvia Rita Souza) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Le Directeur du Secrétariat du Forum des Nations Unies sur les forêts, Manoel Sobral Filho (à gauche), a reçu le message de la LBV pour la conférence.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Adriana Rocha (à gauche), de la LBV, présente le message de l’Institution à la présidente de l’organisation Down Syndrome International , Vanessa dos Santos, qui lutte pour les droits des personnes handicapées, principalement, ceux qui présentent des incapacités mentales et/ou intellectuelles. NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Sâmara Caruso, de la LBV, remet les recommandations de l’Institution à l’ambassadeur Omer Dahab Mohamed, représentant permanent de la République du Soudan auprès des Nations Unies.(Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Le conseiller du Ministère de l‘Agriculture et de la Pêche Maritime du Maroc, Hicham Bankki, connaît le travail de la LBV dans l’évènement par la revue BONNE VOLONTÉ Femme .(Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — A aussi reçu les recommandations de la LBV pour l’événement le vice-président de la 60e session de la Commission de la Condition de la Femme, Jun Saito (à gauche), du Japon.(Foto: Eliana Gonçalves) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Le membre de l’Association Mozambicaine des Femmes de Carrière Juridique (AMMCJ), Julia Wachave (à g.), montre le magazine Bonne Volonté Femme qu’elle a reçu de la jeune Eliana Gonçalves, de la LBV. (Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Danilo Parmegiani, représentant de la LBV auprès des Nations Unies, dialogue avec l’entrepreneur Agnes Dey, de Nova York. (Foto: Eliana Gonçalves) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Danilo Parmegiani, de la LBV, remet la revue BONNE VOLONTÉ Femme à Gila Gamliel, ministre pour l’égalité sociale de l’État d’Israël.(Foto: Eliana Gonçalves) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Le message de la LBV a été aussi remis à la professeur à l’université Jumonji et diréctrice de Jumonji High School , du Japon, Hiroko Hashimoto.(Foto: Eliana Gonçalves) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Eliana Gonçalves (à gauche), de la LBV, présente les recommandations de l’Institution à la La sous-secrétaire d'Etat américaine, Sarah Sewall.(Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans l’évènement Eliana Gonçalves (à gauche) parle avec Olfa Soukri Cherif, membre du Parlement de la Tunisie.(Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Maire de Kingston, Jamaïque, Angela Brown Burke reçoit la publication spéciale de la LBV.(Foto: Eliana Gonçalves) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — De la Fundación Trina, du Mexique, Alontra Rodriguez (la deuxième de gauche à droite) et Martha Torres (à droite) ont reçu le message de la LBV pour l’évènement. NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Ont aussi reçu la revue BONNE VOLONTÉ Femme la représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, chargée de la question des violences sexuelle, Zainab Bangura (au centre), de la Sierra Leone.(Foto: Adriana Rocha) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les membres de la délégation du Nigéria ont aussi reçu la publication spéciale de la LBV. De gauche à droite : Sâmara Caruso, de l’Institution ; Vera Ngozi Osokoya ; Oladipo Funke ; Binta Mamman ; et Adriana Rocha, de la LBV. NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Sâmara Caruso, de la LBV, remet la revue BONNE VOLONTÉ Femme au membre du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la France, Grégoire Théry.(Foto: Adriana Rocha) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Adriana Rocha (à droite), de la LBV, présente les bonnes pratiques de l’Institution à la Ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes, Laurence Rossignol.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les participants de la 60e session de la Commission de la condition de la Femme. NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Danilo Parmegiani, de la LBV, remet la publication spéciale de l’Institution (en anglais) pour la coordinatrice des questions de genre du Parlement du Zimbabwe, Farai Hondonga.(Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La journaliste et membre de section Parlementaire du Maroc, Naima Farrah, a connu les bonnes pratiques de la LBV dans les domaines de l’éducation des familles et des femmes en situation de pauvreté par la revue BONNE VOLONTÉ Femme .(Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La directrice globale d’Egalité Maintenant (Equality Now), Yasmeen Hassan (à gauche), reçoit la revue BONNE VOLONTÉ Femme en anglais pendant la conférence.
(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Ont aussi connu le travail de la LBV Arturo de Nieves Gutiérrez de Rubalcava (au centre), facilitateur du Réseau international des femmes en politiques (iKNOW Politics) en français et espagnol, et Aida Balamaci, coordinatrice de projet du même Réseau.(Foto: Adriana Rocha) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les membres de la délégation du Nigéria ont aussi reçu le message de la Légion de la Bonne Volonté pendant l’évènement. De gauche à droite : Adriana Rocha, de la LBV ; Nosa I. Aladeselu, fondatrice et présidente de African Women Empowerment Guild (AWEG) ; Ebere Ifendu, présidente de l’organisation Women In Politics Forum (WIPF) ; et Danilo Parmegiani, représentant de l’Institution des Nations Unies. (Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les membres de l’équipe de la LBV fraternisent avec la présidente du Conseil national de Namibie, Margaret Mensah-Williams (au centre), et présentent les recommandations de l’Institution pour l’événement.
NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans l’événement, Sâmara Caruso, présente le travail de l’Institution au directeur du Groupe d'indicateurs globaux de la Banque mondiale, Augusto Lopez Claros.(Foto: Adriana Rocha) NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Danilo Parmegiani, de la LBV, remet la revue BONNE VOLONTÉ Femme à directrice en charge des politiques du travail et de l'autonomie économique des femmes, du Brésil, Tatau Godinho.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Vue partielle du public dans la 60e session de la Commission de la condition de la Femme, qui a lieu du 14 au 24 mars, au siège des Nations Unies.(Foto: Adriana Rocha) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — De guache à droite : Adriana Rocha, de la LBV ; Agnès Hurwitz, conseillère senior des politiques du bureau de représentation du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés ; et Catherine Harrington, gérante de la Campagne mondiale pour l'égalité des droits en matière de nationalité, de la Commission des femmes pour les réfugiés.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Adriana Rocha (à g.), de la LBV, remet la revue BONNE VOLONTÉ Femme à Mme. Salla Saastamoinen, directeur de l'égalité dans la direction générale justice et consommateurs de la Commission européenne.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — A aussi reçu la publication spéciale de la LBV dans la conférence Mme Marcy Hersh (à gauche) de la Commission des femmes pour les réfugiés.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans l’évènement Sâmara Caruso (au centre) remet la revue BONNE VOLONTÉ Femme à Facima Garva (à gauche) et Sarah Areo (à droite), les deux de l’organisation Defence and Police Wives Association of Nigeria (DEPOWA).(Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Les représentantes de la LBV dans l’évènement fraternisent avec Fakhra Salimi (au centre), diréctrice de MiRA Resource Centre for Black , Immigrant and Refugee Women , de la Norvège, une organisation tournée vers les femmes noires, immigrantes et réfugiées. NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Les membres de la délégation du Benin, Dunstanette Macauley (à g.), de International Conference & Business Management (ICBM) ; et Hortense Chékété, de l’ONG Zonta International , ont reçu le message de la LBV pour l’évènement.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — A aussi reçu la publication spéciale de la LBV pendant la conférence l’un des représentants de mozambique auprès des Nations Unies, Diogo Milagre (à droite), qui est responsable du projet de la Lutte contre le VIH/SIDA dans le pays.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Le représentant de la Légion de la Bonne Volonté auprès des Nations Unies, Danilo Parmegiani, fraternise avec les membres de Al-Birr and Al-Tawasul Organization , du Soudan du Nord, et présente les recommandations de la LBV pour l’évènement. De gauche à droite : Haram Abdalla Dabora, Alshaza Ekhlas Abdalla et Ekhlass Yousif.(Foto: Adriana Rocha) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — Une participante de l’évènement regarde la revue BONNE VOLONTÉ Femme dans la langue anglaise. L’édition présente aussi les histoires des femmes fortes qui ont reçu l’appui de la LBV et ont lutté pour surmonter et vaincre leurs grands défis.(Foto: Sâmara Caruso) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — La publication présente l’article « Charité et stratégie » , du président de la LBV, Paiva Netto, qui souligne : « La Charité alliée à la Justice est le combustible des transformations profondes. Son action est subtile mais efficace. » (Foto: Adriana Rocha) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — La Légion de la Bonne Volonté présente ses bonnes pratiques sociales aux participantes de l’événement par une publication spéciale disponible en portugais et dans les trois langues officielles des Nations Unies : anglais, espagnol et français.(Foto: Adriana Rocha) (Foto: Danilo Parmegiani) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — La Légion de la Bonne Volonté présente ses bonnes pratiques sociales aux participantes de l’événement par une publication spéciale disponible en portugais et dans les trois langues officielles des Nations Unies : anglais, espagnol et français.(Foto: Adriana Rocha) NEW YORK/ÉTATS-UNIS — La Directrice exécutive adjointe d’ONU Femmes et Sous-Secrétaire générale des Nations Unies, Lakshmi Puri (à gauche), reçoit les recommandations de la LBV des mains de la représentante de l’Institution dans l’évènement, Amanda Vieira.
Sur ce sujet, l’ambassadeur Antonio Patriota, dans une interview exclusive accordée au magazine BONNE VOLONTÉ , souligne l’importance des femmes dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 : « L’Agenda 2030 est basé sur la compréhension que l’on ne pourra pas parvenir à un développement durable si la moitié de l’humanité ne peut pas bénéficier des droits de l’homme dans toute leur plénitude. » Toujours selon le représentant du Brésil, cet engagement contribuera à l’autonomisation des femmes et donc à promouvoir la Paix et l’amélioration de la qualité de vie de toute la population planétaire.
La Légion de la Bonne Volonté (LBV), qui participe annuellement de l’évènement, a partagé ses bonnes pratiques, en soutenant que la priorité à l’éducation et à la rééducation devient la stratégie la plus efficace pour aider les femmes et les filles dans une situation de pauvreté. Pour cette édition, l’Institution a présenté ses propositions socio-éducatives par l’intermédiaire du magazine BONNE VOLONTÉ Femme (édité en anglais, espagnol, français et portugais).
Revue BONNE VOLONTÉ Femme — La Légion de la Bonne Volonté présente ses bonnes pratiques sociales aux participantes de l’événement par une publication spéciale disponible en portugais et dans les trois langues officielles des Nations Unies : anglais, espagnol et français.
La publication met en évidence l’analyse fraternelle du président de la LBV, le journaliste, homme de la radio et écrivain José de Paiva Netto , qui défend dans l’article « Charité et stratégie » : « La Charité n’est pas un sentiment pour les sots. C’est une stratégie de Dieu qui établit dans les cœurs les conditions idéales pour travailler, gouverner, entreprendre, administrer, prêcher, exercer la Science, élaborer la Philosophie et vivre la Religion avec un esprit de Générosité. (...) La Charité alliée à la Justice est le combustible des transformations profondes. Son action est subtile mais efficace. »
LA COMMISSION
La première année de l’ONU, en 1946, le Conseil économique et social (ECOSOC) a établi une Commission de la condition de la femme (CSW, en anglais), comme le principal organisme de décision politique qui se dédie à l’égalité des genres et au développement des femmes. L’une de ses premières réalisations a été d’assurer la neutralité en matière de genre dans le projet de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Par l’intermédiaire de tables rondes et de conférences, CSW établit des objectifs globaux et formule des politiques de valorisation de la femme.
Réaffirmant la Déclaration et le Programme d’action de Beijing (Chine) en 1995, et en ratifiant la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, en 1979, la Commission a convoqué les gouvernements, le système ONU, les institutions internationales et régionales, les organisations non-gouvernementales, la société civile, le secteur privé, à ce compromis coopératif.