La LBV a participé du Sommet des Nations Unies sur le développement durable
D’après les Nations Unies, « il s’agit d’un nouveau programme mondial audacieux pour éradiquer la pauvreté d'ici à 2030 et poursuivre un avenir durable. »
De la rédaction
28/09/2015 à 15:49, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:57
Entre les 25 et 27 septembre, pendant le Sommet des Nations Unies sur le Développement durable, au siège de l’ONU à New York, un nouveau programme mondial a été adopté à l'unanimité par les 193 États membres des Nations Unies. La Légion de la Bonne Volonté (LBV) a été invitée à intégrer le groupe d’organisations de la société civile qui a participé du Sommet.
En cette opportunité historique, la LBV a été reconnue par son importance internationale dans le combat à la misère et par ses contributions aux procès préparatoires pour la formulation du nouveau programme de développement d’ici à 2030 avec autres institutions.
D’après les Nations Unies, ce programme « couvrent l'ensemble des dimensions du développement durable, à savoir la croissance économique, l'intégration sociale et la protection de l'environnement ».
Le programme a été conçu afin de parachever au cours des 15 prochaines années. Il est intitulé « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l'horizon 2030 » et comporte 17 Objectifs de développement durable (ODS) et leurs 169 cibles.
La Légion de la Bonne Volonté a participé d’un des six panneaux qui ont intégré la programmation officielle sur le combat à la misère. En cette occasion, elle a présenté le magazine BONNE VOLONTÉ Développement durable 2015, publié en anglais, espagnol, français et portugais. Dans l’éditorial « Altruisme – une révolution », le président de LBV, José de Paiva Netto, a déclaré : « Quand la violence le menace plus intensément, le développement d’un peuple ne peut faire abstraction de l’esprit philanthropique et donc, humanitaire, allié à celui de justice intègre et de gestion compétente. »
LBV et ONU
LBV est une organisation de la société civile avec statut consultatif général auprès du Conseil économique et social (Ecosoc) des Nations Unies, depuis 1999, et associée au Département de l’Information (DPI) de l’ONU, depuis 1994. Cette condition permet à l’Institution de participer et de contribuer aux débats de l’ONU sur des thèmes importants. De cette façon, elle a fraternellement présenté des recommandations en ce qui concerne la mise en œuvre de politiques publiques et d’actions humanitaires internationales.